Mycelium travaille depuis le début de son existence sur les questions d’effondrements. Notre intention est de nourrir et accompagner les nombreux débats qui ont lieu sur ces questions, en favorisant le dialogue critique et constructif entre différentes approches au sein de ces débats et de permettre une lecture complexe et plurielle de ces enjeux.
Voici quelques traces de ces réflexions menées par Mycelium et par d’autres personnes ou organisations proches, ainsi que des ressources.
Lire
- « Confronter l’effondrement à nos réalités sociales » Une interview de Ruth Paluku-Atoka menée pour Mycelium, qui questionne la perspective sociale dans laquelle se construit l’idée d’effondrement.
- Une invitation à dépasser les limites de la collapsologie par Jérémie Cravatte
- Le récit de l’effondrement au crible de la sociologie par Laura Silva-Castañeda
- Entre sidération et déni des crises écologiques : et si les théories catastrophistes étaient mobilisatrices ? par Delphine Masset
- « Contre l’effondrement, pour une pensée radicale des mondes possibles » par Elisabeth Lagasse
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« Contre l’effondrement : agir pour des milieux vivaces » par Bénédikte Zitouni et François Thoreau
Retour de rencontres
- En 2017, Mycelium a co-organisé avec l’ASBL Terr’Eveille des rencontres résidentielles sur le thème des « effondrements et du travail de deuil » ainsi qu’une conférence avec le Réseau ADES sur « effondrement et luttes sociales ».
- Mycelium a co-organisé, en 2018, le cycle « Cheminer à travers les effondrements« , avec Associations 21 et Rencontre des Continents. Ce cycle visait à favoriser un dialogue entre acteur.rice.s du monde associatif autour des questions d’effondrements et de la manière d’intégrer ces débats dans leurs organisations et leurs actions. Voir ici une synthèse de ces rencontres, rédigée par Guillaume Lohest ainsi que le document « stratégies face aux effondrements »réalisé à la suite de ces rencontres.
- Une reproduction graphique des processus de deuil en lien avec les questions d’effondrement, réalisée par Matthieu Van Niel.